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Ulcère, brûlures d'estomac, reflux : il y a des remèdes simples contre les maux d'estomac

  • Ulcère, brûlures d'estomac, reflux : il y a des remèdes simples contre les maux d'estomac

Lorsque l'on parle des maux d'estomac, on évoque toujours une cause plus ou moins psychologique ("Arrête de t'énerver tu vas attraper un ulcère"). Pour les spécialistes du décodage biologique, le lien est même très clair : le reflux gastrique résulterait d'une volonté de recevoir ou d'une attente de tendresse non comblée. Les maladies de l'estomac seraient le signe que l'on a du mal à digérer le monde extérieur. Dans l'ulcère, les spécialistes incriminent le stress ou le comportement d'un proche que l'on n'accepte pas. Est-ce suffisant pour expliquer pourquoi un tiers des Français souffrent de maux d'estomac ? Je crois qu'il y a sûrement là un morceau d'explication mais, plus prosaïquement, il faut bien reconnaître que beaucoup d'entre nous se préoccupent aussi peu de leur estomac que de leur qualité de vie, plus souvent imposée que choisie. Nous avons pour habitude de manger de tout en vrac (chaud, froid, salé, épicé, alcoolisé...) comme si notre estomac pouvait tout encaisser. Nous le traitons comme un Sanibroyeur inusable, capable de traiter avec la même efficacité les 100 000 repas que nous lui servirons au cours de notre vie. Quelle méprise !

Bien plus qu'un réceptacle à bouffe : un organe sophistiqué

Le travail de cette poche qu'est l'estomac est trop souvent considéré comme du gros ?uvre. Pour les finitions, on se dit qu'il existe d'autres organes bien plus subtiles... Par leur comportement, certains semblent même considérer leur estomac comme un vulgaire « sac à bouffe », une sorte de « tambour » dans notre machine alimentaire ! Notre estomac est pourtant un organe central, qui remplit de nombreuses fonctions. A commencer par l'élimination des bactéries nocives et la transformation des protéines en acides aminés qui vont construire nos tissus et nous fournir en énergie. C'est un travail d'orfèvre, qui va déterminer celui de tous les autres organes impliqués dans la chaîne de la digestion. Au final, de nombreux paramètres de santé dépendent de la qualité de son travail, de notre équilibre nerveux à notre équilibre psychologique en passant par la santé de notre pancréas, de nos intestins et même de nos vertèbres...

Trois litres d'acide par jour

En plein milieu du ventre, cette usine de traitement des aliments emploie des produits chimiques d'une agressivité peu commune : on y mettrait la main, elle serait dissoute ! Grâce à ce qui n'est quasiment que de l'acide chlorhydrique pur, cette usine est capable de transformer tout ce que nous absorbons en une pâte mi-solide mi-liquide : le chyme alimentaire. Afin d'assurer cette mission, l'estomac sécrète environ 3 litres d'acide par jour. Il s'auto-protège grâce à la production d'un liquide protecteur, le mucus qui tapisse ses parois internes. Normalement, l'acide doit demeurer dans l'estomac grâce à la fermeture d'un sphincter, un muscle circulaire situé entre l'estomac et l'?sophage. Et il pénètre plus bas dans le duodénum en petites quantités, en même temps que la nourriture digérée. Grâce au pancréas, qui sécrète les sucs pancréatiques (basiques), cette acidité est modérée et l'intestin peut correctement faire son travail.

Quand les acides attaquent !

Tout le monde le sait : l'?sophage est un conduit reliant la bouche à l'estomac qui permet le transport de la nourriture. Mais on méconnaît souvent ce qui se passe après. Le sphincter qui sépare l'estomac de l'?sophage n'est censé s'ouvrir que pour laisser descendre les aliments et empêcher le contenu de l'estomac de remonter dans l'?sophage. Mais si ce sphincter entre l'estomac et l'?sophage fonctionne mal, l'acidité de l'estomac reflue au niveau de la paroi intérieure de l'?sophage, ce qui entraîne des symptômes de brûlant souvent accompagnés d'un goût acide en bouche. Les régurgitations acides et les brûlures d'estomac sont deux symptômes particulièrement fréquents. Et en règle générale, pour désagréables qu'ils soient, ils restent banals et bénins, liés au stress, à une trop grande ingestion de protéines, d'alcool ou de certains médicaments comme l'aspirine ou les anti-inflammatoires. Mais si ces symptômes perdurent, les vrais ennuis commencent...

Ce que le reflux gastro-oesophagien peut cacher

Le reflux gastro-oesophagien (RGO) affecte aussi 30% d'entre nous. C'est la remontée d'une partie du contenu de l'estomac dans l'?sophage. Ce reflux est dû à un mauvais fonctionnement du sphincter. Normalement fermé, ce muscle en forme d'anneau s'ouvre sans raison et laisse alors les sucs gastriques remonter dans l'?sophage. Le pyrosis (brûlure qui monte de l'estomac, parfois jusque dans la bouche) et les régurgitations acides sont les principaux signes de cette affection. Certains facteurs facilitent sa survenue : se pencher en avant, dormir sur le dos après le repas, le surpoids. Si vous êtes régulièrement sujet à un RGO, le contact permanent de l'acide avec le revêtement interne de l'?sophage va provoquer une inflammation plus ou moins importante de l'?sophage : c'est l'oesophagite. A long terme, mieux vaut savoir qu'une oesophagite non traitée entraînera un rétrécissement de l'?sophage, mais, beaucoup plus rarement un cancer de l'oesophage. Dans d'autres cas, le reflux est lié à l'existence d'une particularité anatomique, la hernie hiatale. Le diaphragme (le muscle qui sépare le thorax de l'abdomen) présente un orifice pour laisser passer l'oesophage. Quand une petite partie de l'estomac remonte de l'abdomen vers le thorax à travers cet orifice, c'est la hernie. C'est pourquoi la femme enceinte a souvent le brûlant durant le dernier trimestre de sa grossesse suite au refoulement de l'estomac vers le haut par le f?tus.

Alimentation contre médicaments

Le traitement classique du reflux se base sur l'utilisation de médicaments antiacides (Gastrex, Gaviscon, Maalox, Phosphalugel...) qui neutralisent l'hyperacidité. Mais ces remèdes, comme toujours, présentent un cortège de risques sans corriger ni le terrain ni le problème de fond. La plupart de ces médicaments contiennent en particulier des sels d'aluminium, or l'aluminium est impliqué dans de nombreuses pathologies dégénératives comme la maladie d'Alzheimer... L'alimentation jouant un rôle déterminant dans la survenue de ces troubles digestifs, mieux vaut prévenir le mal en prenant quelques précautions élémentaires : Aliments à proscrire

  • frites et fritures,
  • huiles et beurre cuits,
  • épices (à l'exception de l'excellente coriandre),
  • moutarde,
  • abats, gibier et de façon générale les protéines animales (qui acidifient de façon excessive le milieu stomacal),
  • poissons gras,
  • conserves,
  • choucroute,
  • fromages fermentés,
  • confitures, crèmes, confiseries, pâtisserie (surtout industrielles),
  • alcools forts, boissons glacées, gazeuses, café...

Petit aparté qui vous intéressera, surtout pour vos enfants : fuyez comme la peste le café au lait ! J'en ai personnellement souffert enfant, les matins d'école (ma maman me préparait un café au lait tous les matins) et il a fallu qu'un naturopathe m'explique un jour le phénomène des micelles pour que je réalise ma douleur. Les micelles sont des sortes de sphères microscopiques qui ralentissent l'activité enzymatique au point de bloquer la phase de digestion stomacale et d'entraîner une forte acidité du milieu. En passant dans le duodénum, ces micelles contrarient la digestion du chyme (tartines comprises) et provoquent reflux, gêne hépatique, troubles du petit intestin et putréfactions intestinales. Aliments à éviter

  • crustacés, ?ufs,
  • champignons,
  • légumes secs,
  • mie de pain frais...
  • Et les acidifiants que l'on ne soupçonne pas forcément comme l'oseille, l'orange, l'oignon cru ou le chocolat.

Aliments recommandés

  • légumes cuits ou secs,
  • céréales et féculents (pomme de terre en particulier),
  • ?ufs bouillis,
  • viandes et poissons maigres (bar, colin, dorade, limande, lieu, sole...),
  • beurre et huiles crus,
  • fromages frais ou non fermentés,
  • fruits frais (banane, melon), tartes aux fruits...

Aliments hautement recommandés

  • tous les produits riches en oméga 3,
  • les noix (au moins 3 par repas),
  • les graines de lin,
  • l'huile de colza (sur crudités)

Le steak-frites : une bombe à retardement

L'estomac est là pour acidifier la lumière intestinale comme disent les naturopathes, d'une part dans le but de détruire les bactéries et autres microbes avalés avec la nourriture, d'autre part pour lyser les produits en acides aminés. Or la sécrétion excessive de cette acidité, particulièrement sous l'effet d'un trop plein de protéines animales, entraîne une surcharge de travail pour le pancréas, chargé de faire chuter cette acidité. Il faut le savoir, surtout lorsqu'on est diabétique ou prédiabétique. Et si l'on ne veut pas le devenir, mieux vaut éviter systématiquement d'associer les viandes avec les hydrates de carbone. Ces derniers sont digérés par l'amylase produite par la salive de la bouche. Malheureusement, l'amylase n'est pas active en milieu fortement acide. Donc la digestion des sucres lents sera a priori plus difficile quand ces derniers sont associés à des protéines fortes. Le steak-frites en est l'exemple typique : c'est une bombe dans l'estomac et surtout pour le pancréas.

Beaucoup de plantes savent soulager l'estomac

Les plantes savent prendre soin de notre estomac. Leur action est d'autant plus importante qu'elles vont passer un certain temps dans cet organe quand elles sont prises par voie orale. Nombre d'entre elles, comme le chou, stimulent la production de mucus protecteur et enrayent le développement potentiel d'une gastrite (l'inflammation). D'autres, apportent des éléments protecteurs à travers des mucilages, sorte de mucus complémentaire. C'est le cas du psyllium. D'autres, enfin, telle la réglisse, peuvent tempérer un excès d'acidité. Une poignée d'entre elles, comme l'achillée, l'angélique, la coriandre ou le basilic vont plus loin encore en agissant en profondeur sur l'estomac (par voie lymphatique ou sanguine), après absorption de leurs principes actifs dans le sang.

Des pansements pour l'estomac

Beaucoup de plantes sont donc cicatrisantes et favorisent la formation de mucus dans l'estomac. Ce sont d'excellents pansements naturels pour des muqueuses enflammées. En complément d'une alimentation de circonstance, je vous conseille de faire appel en priorité à la racine de réglisse, sauf en cas d'hypertension. Mais aussi à la partie stérile de la prêle, à la racine de carotte, aux feuilles de chou, aux graines de lin, de psyllium, aux pétales de souci. Si vous avez la chance d'habiter près d'un herboriste, demandez-lui donc un mélange de ce genre. Par exemple, une infusion de réglisse, prêle et souci (une petite cuillère à soupe pour un bol, infuser 10 mn) pourra s'utiliser au début ou à la fin du repas selon vos préférences. Cicatrisant, le brocoli, décidemment très vertueux, l'est aussi. Vous pouvez en user et abuser. Comme du jus de chou vert, dont un petit verre au début de chaque repas vous fera le plus grand bien. Autant qu'un petit verre de jus de pomme de terre désamidonné pris à jeun (on en trouve dans les bonnes boutiques diététiques).

Quand la sensation de brûlant descend vers l'abdomen

Ces remèdes de fortune peuvent ne pas suffire. C'est le cas si vous ressentez une sensation de douleur brûlante ou lancinante partant de l'estomac et irradiant dans le ventre. C'est le cas si celle-ci s'aggrave lorsque vous mangez ou buvez ou s'apaise au contraire pendant les repas mais réapparaît à distance, la nuit par exemple. Vous avez la sensation d'être vite rassasié(e). Des nausées, des vomissements, vous surprennent. Dans ce cas, il est probable que ce qui n'était que gastrite se soit transformé en un ulcère gastroduodénal (UGD). Si cela peut vous rassurez (il le faut puisque le stress est un facteur aggravant !), dites-vous que vous n'êtes pas seuls : l'ulcère touche entre 5 et 10% des gens en Occident au moins une fois dans leur vie. Toujours pour vous rassurer, n'oubliez pas que l'ulcère n'est plus considéré comme une maladie chronique due au stress mais qu'il est lié à Helicobacter pylori (HP), une bactérie résistante à l'acidité du suc gastrique : 90% des personnes qui souffrent d'UGD en sont infectées. Curieusement, alors qu'environ 30% des Français sont porteurs de la bactérie, moins d'un tiers d'entre eux finalement se plaignent d'un ulcère. Le paradoxe est trompeur car si le stress en est l'un des facteurs capables de réveiller Helicobacter, une consommation excessive d'alcool et de tabac l'est plus sûrement. Et ceux qui les consomment à l'excès sont justement les mêmes qui tentent de calmer leur angoisse de cette façon !

Fibroscopie, IPP et tutti quanti

Un ulcère évolue lentement et se décèle difficilement. Ce n'est qu'au bout de quelques semaines, lorsqu'un pesant sentiment de fatigue s'installe, accompagné d'un amaigrissement que l'on peut se poser la question. C'est l'heure de passer à la fibroscopie qui visualisera les lésions et de réaliser une biopsie pour confirmer la présence d'Helicobacter pylori. Nombre d'entre nous sont passés par là... Il n'est donc pas surprenant de constater que le Mopral (anti-ulcéreux) est en France le médicament qui génère le plus gros chiffre d'affaires. Ce produit, comme ses concurrents (Eupantol, Inexium, Lanzor, Ogast, Zoltum, etc.) dans cette classe dit des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons), entraîne aussi de nombreux effets secondaires. D'abord des troubles gastro-intestinaux, un comble ! Diarrhée, constipation, flatulence, nausées... Ensuite des troubles cutanés (prurit, alopécie, transpiration), nerveux (somnolence, insomnie, vertiges...) mais aussi des bourdonnements d'oreille et des troubles du goût. Surtout, les IPP suppriment quasiment la production d'acide par l'estomac. En 48h, reflux gastriques et douleurs disparaissent et l'ulcère cicatrise en 3 ou 4 semaines. Mais les rechutes sont d'autant plus fréquentes et pénibles ce qui oblige souvent à prendre ce traitement au long cours. Or les IPP favorisent à la longue, en neutralisant l'acidité, la croissance de certaines bactéries suspectées de produire des substances cancérogènes.

Ce qu'il faut savoir pour barrer la route à Helicobacter pylori

On a longtemps attribué la cause des ulcères au seul stress. Mais la bactérie Helicobacter pylori que l'on retrouve chez la plupart des personnes atteintes d'ulcère de l'estomac, se développe surtout lorsque nos défenses immunitaires sont affaiblies. C'est dans ce contexte qu'elle parvient à perturber la couche protectrice de mucus. La muqueuse de l'estomac est ainsi exposée au contact de l'acide, ce qui peut déclencher la formation d'un ulcère. D'autres facteurs déjà incriminés dans le reflux gastrique vont également, à l'excès, favoriser le développement de l'ulcère. Outre les conseils déjà donnés, évitez toujours de :

  • Prendre à jeun un AINS (aspirine, ibuprofène genre Advil ou Nurofen...), un comprimé de chlorure de potassium (Diffu K, Kaléorid) et certains biphosphonates pour l'ostéoporose (Actonel, Fosamax) : ceux-ci augmentent très fortement le risque de perforation. La cortisone est aussi un ennemi qui altère et diminue la production du mucus protecteur de l'estomac.
  • Manger trop vite. Au contraire, manger lentement, en mastiquant longuement.
  • Manger dans l'agitation : l'estomac est directement soumis aux influences du système nerveux central qui régule son travail. Laissez-le donc dans le calme !
  • Boire pendant les repas. Buvez bien-sûr mais plutôt après.
  • Laisser le stress du travail ou familial vous envahir.
  • Fumer : la cigarette est extrêmement acidifiante.

Contre l'ulcère aussi, les remèdes naturels l'emportent haut la main

Là encore, les plantes arrivent en tête des meilleurs remèdes. La guimauve, la mauve, la molène, le plantain ont ainsi une action apaisante sur l'estomac grâce à leur teneur élevée en pectine et en mucilage qui, en tapissant la muqueuse, la protège comme le ferait le mucus s'il était normalement sécrété. Pensez-y ! Une cure de brocolis en complément est la meilleure chose que vous puissiez faire : consommer 50 g de jeunes pousses (de 3 jours) de ce légume pendant une semaine diminue ou supprime la présence d'HP dans l'estomac. Si cela vous enquiquine, vous pouvez recourir à l'extrait de brocoli (titré à 2% de sulforaphanes) à raison d'1 gélule trois fois par jour, 20 mn avant chacun des 3 repas. Autre merveille qu'il faut absolument connaître : le miel de Manuka (en boutique bio). Cette variété australienne et néo-zélandaise contient dix à cent fois plus de méthylglyoxal (le principe actif antibactérien) que toutes les autres variétés. Son efficacité sur l'Helicobacter a été démontrée.

Vous voulez aller au plus simple ?

Vous avez déjà là le choix mais si vous voulez combiner le meilleur en un seul remède pour des raisons pratiques, il existe une formule en gélules qui associe en synergie trois remèdes de terrain dont je vous ai déjà parlé : - l'achillée millefeuille, qui possède un effet régulateur sur l'acidité gastrique et anti-ulcérogène par son action contre l'HP ; - les graines de coriandre, efficaces contre la dyspepsie (propriété reconnue par la Commission européenne !), antispasmodiques et anti-flatulences ; - le basilic, utilisé depuis l'Antiquité comme antispasmodique également, sédatif, antibactérien, stomachique et carminatif. Le premier intérêt de ce produit baptisé Phytogast tient dans sa fabrication qui permet de renforcer les propriétés de ces plantes par l'apport de leurs huiles essentielles. L'extraction de ces dernières se fait à froid ? un procédé encore rare mais qui préserve au mieux les molécules aromatiques. L'autre intérêt réside dans le fait qu'il agit aussi bien face à un ulcère, des crampes gastro-intestinales ou de simples reflux gastriques. Sans aucune nocivité, ce remède est simplement déconseillé (à cause de l'achillée) lors une grossesse.

J'allais oublier les vertèbres...

Aussi étonnant que cela puisse paraître, il faut savoir que la vertèbre D6 est associée à l'estomac et que dans l'ulcère gastrique, elle est automatiquement enflammée. La vertèbre induit l'ulcère et l'ulcère induit la vertèbre. C'est le coup de la poule et de l'?uf. La première chose à faire avant d'aller plus loin est donc de rompre ce cycle en consultant un ostéopathe, un étiopathe ou un chiropracteur.

Dominique Vialard

Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com

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Ces conseils ne vous dispensent pas de consulter en premier lieu un médecin pour établir un diagnostic. Vous pouvez également vous faire accompagner par un thérapeute en médecine complémentaire. Pour en trouver un près de chez vous, rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com