
Des effets secondaires graves du vaccin contre le papillomavirus volontairement minimisés par les laboratoires ?
Les laboratoires Merck et GlaxoSmithKline ont utilisé de faux placebos et manipulé les résultats de plusieurs études pour minimiser les risques liés à leurs vaccins contre le papillomavirus, le Cervarix et le Gardasil. C’est la principale conclusion d’un article paru le 20 juillet dernier dans la revue Clinical Rheumatology. Menée par deux chercheurs de l’Institut national de cardiologie du Mexique, l’enquête passe au crible pas moins de 28 études récentes (16 tests randomisés ...
rédigé le 25 août 2017 - par La rédaction