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Des médicaments anti-cancer...
qui protègent sa propagation

C'est C. Glenn Begley qui a mis le feu aux poudres en mai dernier. Dans un article publié dans la revue Nature, cet ancien directeur d'un labo pharmaceutique a lâché le scandale : sur 53 études qu'il avait jugées intéressantes dans le cadre du développement de nouveaux médicaments anti-cancer, publiées dans les revues les plus sérieuses, 47 n'ont pas pu être reproduites par ses équipes ! Ce qui représente 88% de résultats douteux. Sidéré, Begley a rencontré plusieurs responsables de ces fausses études. Et voici ce qu'il raconte sur l'un de ces rendez-vous :?Je lui ai expliqué que nous avions refait leur expérience 50 fois sans jamais parvenir au même résultat qu'eux. Il m'a répondu qu'ils avaient fait six tentatives, obtenant le résultat une seule fois, mais c'est bien celui-là qu'ils ont choisi de publier car il sonnait mieux?. ?. Mesurez la désinvolture ! Ces conclusions ne sont malheureusement pas isolées. En 2009, une équipe de l'Université du Michigan était arrivée à un résultat similaire, ainsi que des scientifiques de Bayer AG, plus récemment. Il se dit que c'est le système de financement des labos de recherche qui est à revoir? Par ailleurs, plusieurs responsables de recherche de la très réputée Harvard Medical School ont tout bonnement falsifié les résultats d'études scientifiques? pour arriver à des conclusions qui leur permettaient de pouvoir prétendre à une subvention fédérale de 15 millions de dollars. Un procès aura prochainement lieu. Ce genre d'affaire a une fâcheuse tendance à se multiplier. Malheureusement, toutes ces études bidon constituent une base de développement de nouveaux médicaments. Par exemple, au sujet du Glivec (Imatinib) et du Sutent (Sunitinib), qui sont censés bloquer l'irrigation sanguine des tumeurs pour les faire mourir, une équipe scientifique vient de montrer que ces médicaments tuent en même temps des petites cellules nommées PERICYTES, lesquelles ont pour principale fonction de combattre? les tumeurs !  Résultat : la tumeur diminue bel et bien en volume, mais devient aussi plus virulente, et diffuse beaucoup plus vite dans l'organisme ! Le professeur Raghu Kalluri, responsable de l'étude a déclaré : ?Si vous regardez juste la taille de la tumeur, les résultats [des études scientifiques] étaient justes, mais quand vous regardez l'ensemble du processus, le fait d'inhiber les vaisseaux irriguant la tumeur ne contrôle en rien la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend?.  Un détail : le Glivec est toujours autorisé en Europe depuis 2001 et le Sutent depuis 2006. Il est clair qu'il est déraisonnable de faire confiance à cette industrie criminelle de la maladie, et qu'il y a beaucoup plus de chances de s'en sortir (multiples preuves à l'appui) en allant voir un peu se qui se passe du côté des médecines alternatives qui elles n'ont pas le droit de nuire (en respect absolu du serment d'Hippocrate) et qui pourtant n'ont pas accès au chapitre de la publicité.

Michel Dogna

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