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Aspartame, heureusement que les Finlandais sont là !

  • Aspartame, heureusement que les Finlandais sont là !

Voilà des années que l'on soupçonne l'aspartame et les édulcorants de synthèse d'avoir des effets néfastes sur la santé. Dans de nombreux pays, des études scientifiques ont été menées et plusieurs d'entre elles concluent à un risque potentiel pour la santé. Pourtant, les autorités sanitaires françaises continuent d'étudier le dossier... Pendant ce temps des millions de personnes continuent d'en consommer régulièrement. Quelque 6 000 produits alimentaires en contiennent. Il y a les boissons "light" bien entendu, mais pas seulement. On en trouve dans de nombreux plats cuisinés et dans la quasi-totalité des produits "allégés". Il y en a même dans les médicaments : 600 spécialités pharmaceutiques en contiennent, dont un certain nombre de suppléments vitaminiques destinés aux enfants. Une étude finlandaise publiée récemment vient de remettre le dossier en lumière. Cette étude, menée auprès de plus de 60 000 femmes enceintes conclut qu'il y a une relation statistique entre la consommation régulière de boissons sucrées ou contenant un édulcorant de sythèses et les accouchements prématurés. Une étude danoise tout aussi vaste, et publiée l'année dernière avait apporté une conclusion identique pour les seules boissons "light". Toute personne sensée, tout homme politique raisonnable prendrait donc la décision de lancer immédiatement une évaluation des dangers de l'aspartame et de suspendre sa commercialisation au plus vite. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) vient en effet, au contraire, de demander la prolongation du délai de réévaluation complète des risques associés à l'aspartame. Elle avait prévu de le faire en 2020, mais sous la pression de certains gouvernements, elle avait accepté de rendre sa copie en... juillet dernier... On l'attend toujours. Du coup, il faudra patienter au moins jusqu'à mai 2013 pour obtenir une réévaluation officielle des dangers des édulcorants de synthèse ! Je vous conseille de lire ce qui suit si vous n'êtes pas encore convaincu des dangers de l'aspartame Une fois ingéré, l'aspartame se transforme en plusieurs substances : la phénylalanine, le méthanol et la dicétopipérazine. - La phénylalanine est un acide aminé que l'on trouve dans le cerveau humain. Sa présence est parfaitement naturelle, mais il a été démontré qu'une seule prise d'aspartame suffit pour faire monter les niveaux de phénylalanine au niveau cérébral. La consommation régulière d'aspartame entraîne ainsi inévitablement un taux cérébral excessif de phénylalanine dont la première conséquence est une chute de l'hormone cérébrale de la bonne humeur (la sérotonine), conduisant à des désordres émotionnels tel que la dépression. Une consommation chronique d'aspartame va, quant à elle, carrément modifier la chimie cérébrale entraînant des pertes de mémoire voire même une destruction des neurones comme on l'observe dans la maladie d'Alzheimer. Le Dr Louis Elsas, professeur de pédiatrie (Université d'Emory, Georgie, USA), n'a pas hésité à déclarer devant le Congrès américain que la phénylalanine qui se concentre dans le placenta peut provoquer des cas d'arriération mentale. - Le méthanol correspond, en poids, à environ 10 % de l'aspartame. Il se décompose, entre autres dans le corps en acide formique (le poison injecté par les piqûres de fourmis) et en formaldéhyde (un cancérigène connu qui cause des dommages à la rétine, s'oppose à la reproduction de l'ADN et cause des malformations prénatales). Les problèmes les plus connus d'un empoisonnement au méthanol sont les problèmes visuels. D'autres symptômes sont également répertoriés : maux de tête, bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertiges, frissons, trous de mémoire, engourdissements et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement. - La dicétopipérazine, enfin, a été impliquée dans l'apparition de tumeurs au cerveau et des polypes utérins. Voilà pourquoi les grands consommateurs de boissons « light » souffrent d'une série de maux dont ils ne s'expliquent pas l'origine. Il s'agit en fait de la maladie de l'aspartame caractérisée par :
  • douleurs de type fibromyalgie,
  • spasmes,
  • vertiges, nausées, maux de tête,
  • acouphènes,
  • lancements ou engourdissements des jambes, crampes,
  • douleurs articulaires,
  • dépressions,
  • crises d'angoisse,
  • discours incohérent,
  • vision trouble,
  • pertes de mémoire.
Pire encore, on peut diagnostiquer chez certains patients une maladie grave (fibromyalgie - arthrite - sclérose en plaques - maladie de Parkinson ? lupus ? épilepsie - troubles psychologiques - maladie d'Alzheimer) alors que leurs symptômes ne sont que la conséquence de la consommation abusive d'aspartame. L'aspartame, enfin, crée un besoin maladif de sucre et fait grossir. L'Ame­­rican cancer society a confir­mé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n'en consommaient pas. Tout indique que l'aspartame, plus encore que le sucre raffiné, représente un danger sanitaire aussi grave qu'insidieux. Partout dans le monde, de plus en plus de voix s'élèvent pour s'opposer à son emploi massif (l'US Air Force recommande même à ses pilotes de ne plus en consommer). En France, malheureusement, le mutisme reste complet.

Michel Dogna

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