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Ils ont inventé une nouvelle
super-bactérie du sexe

Internet distribue l'ombre et la lumière ? et tant pis pour ceux qui n'ont pas de discernement. Par exemple, voilà ce que j'ai pu lire sur un site prestigieux que je m'abstiendrai de citer ici : " Découverte pour la première fois au Japon en 2011, la bactérie H041, surnommée la «superbactérie du sexe», semble prendre de l'ampleur. Les autorités sanitaires américaines ont officiellement demandé au Congrès 50 millions de dollars pour développer au plus vite un nouvel antibiotique après la découverte de nouveaux cas à Hawaï et en Californie. D'autres cas auraient également été détectés en Norvège." Çà commence mal :50 millions de dollars pour découvrir un nouvel antibiotique  ? très méchant par-dessus le marché...Mais continuons : Résistante aux traitements déjà en vigueur, cette souche de gonorrhée POURRAIT se révéler être un vrai danger pour la santé au niveau mondial. «Cette bactérie POURRAIT se révéler bien pire que le Sida à court terme parce qu'elle est plus agressive et touchera plus de gens et ce, beaucoup plus rapidement», indique le docteur Alan Christianson, cité par le site de CNBC. Là on commence à délirer sur de simples suppositions comme d'habitude. La recette a toujours bien marché avec toutes les fausses pandémies (virus grippe aviaire, virus grippe porcine, H1N1??) avec bien sûr la complicité de l'OMS : on sème l'épouvante, on soudoie les gouvernements, et l'on vend des millions de faux vaccins qui eux peuvent en outre être à l'origine de vraies pandémies. A savoir que le coup d'essai le mieux réussi (peut-être sans le faire exprès) a été celui qui en 1918 a généré une hécatombe mondiale à partir d'une vaccination massive sur la population américaine : on a camouflé l'affaire en la baptisant «  grippe espagnole » - et presqu'un siècle après, on y croit encore ! Le Dr L. Day, MD., ex-chirurgien en chef du grand hôpital de San Francisco et professeur en faculté de médecine a lui-même donné cette explication (qui ne risque pas de passer à la télé) : « Comme la première guerre mondiale n'a pas duré de longues années, les fabricants de vaccins n'ont pas pu vendre toutes leurs productions à l'armée. Cherchant essentiellement le profit, ils décidèrent de vendre leurs stocks à la population. C'est ainsi qu'ils ont battu le rappel et lancé la plus grande campagne de vaccinations que les Etats-Unis n'aient jamais connue au cours de son histoire. Il n'y avait cependant alors aucune épidémie pour justifier ces mesures. Ils ont alors imaginé une stratégie. Leur propagande prétendait que les soldats qui rentraient de l'étranger étaient atteints de toutes sortes de maladies et que tout un chacun devait se faire un devoir de se faire inoculer tous les vaccins qui étaient alors sur le marché? La grippe espagnole n'a donc d'espagnole que le nom ; mortelle en 3 jours, elle a fait entre 20 à 50 millions de morts. Les premiers cas de l'épidémie ont été détectés en Caroline du Sud, et non pas en Chine, et encore moins en Espagne. Cette grippe était donc d'origine états-unienne. Elle est apparue en février 1918 dans des camps militaires aux U.S.A. » Mais continuons cet intéressant article d'Internet : Alors que la gonorrhée est d'ores et déjà considérée comme la deuxième plus fréquente infection sexuellement transmissible, cette nouvelle souche résistante POURRAIT être un fléau d'une ampleur inédite, qui POURRAIT être plus important que les 30 millions de personnes mortes du VIH. Que voilà encore deux jolis mensonges !
  • Nombreuses sont les sommités médicales mondiales qui s'insurgent contre la théorie sacrée du VIH : personne n'a jamais pu prouver une quelconque relation de fait entre le VIH et le Sida. Le professeur Montagnier auteur de cette simple hypothèse de travail, sans se désavouer vraiment émet lui-même des réserves et « noie le poisson » en parlant d'interactions multifactorielles autour du VIH? . Pour confirmation, je conseille aux curieux de se reporter à l'ouvrage du Dr Henrich Krémer qui décrit d'une façon très documentée dans son ouvrage « The silent revolution in cancers end AIDS (La révolution silencieuse du cancer et du Sida) » tout le montage du Sida.
  • 30 millions de morts du VIH : Il convient de rappeler que les tests Mélissa et Western Blott peuvent afficher une séropositivité à près de 80 syndromes infectieux. C'est ainsi que pour des raisons de propagande, on a pu mettre dans la case Sida différentes maladies endémiques des les pays pauvres. Exemples : la malaria, la tuberculose, les hépatites et les maladies mortelles de la malnutrition. Et l'on peut y ajouter tous ceux qui, à défaut de mourir du SIDA, sont morts de ses traitements. (Voir le livre du Dr Léonard Horowitz, membre du gouvernement étasunien sous trois mandats présidentiels : « La guerre des virus »).
Enfin, allons jusqu'au bout de ce montage subversif qui sent le Big Pharma à plein nez : «Les gens qui contracteront cette souche de gonorrhée POURRAIENT développer un choc septique mortel en quelques jours. Elle est donc extrêmement dangereuse» ( CQFD !) Pour le moment, aucun cas mortel n'a été détecté sur la planète (OUF ! Alors c'était juste pour mettre l'ambiance ?). Un état de fait qui pousse malgré tout les autorités sanitaires à appeler à la prudence en conseillant « de se protéger et de se faire tester en début de toute nouvelle relation». (On va bien vous trouver quelque chose?) Alors là, encore une incohérence : vous avez une nouvelle relation sexuelle, donc avec une personne susceptible d'être infestée ; pourquoi n'était-elle pas morte en 3 jours ? Mais elle pourrait aussi être un porteur sain parce qu'elle a de bonnes défenses immunitaires (pour le moment)??.. Alors si vous aussi vous avez de bonnes défenses vous pouvez aussi devenir un porteur sain. Et si nous étions tous pour la plupart des « porteurs sains » ? Finalement, la sagesse n'est ?elle pas de se boucher les oreilles face à tous les « chants des sirènes » qui essaient sans relâche de nous attirer dans leurs pièges ?

Michel Dogna

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