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La confiscation des semences :
une guerre sans visage

Depuis toujours, tous les peuples sédentaires ont réutilisé la semence qu'ils produisaient d'une année sur l'autre. La semence est la garantie de pérennité de notre nourriture, donc de notre autonomie et de notre sécurité alimentaire.
Dans les années 60, l'INRA a mis au point les premières semences hybrides dites F1, qui par une succession de croisements correspondent génétiquement à des mulets, dont les générations filles sont dégénérées. Ceci allait évidemment obliger les agriculteurs et jardiniers de racheter chaque année de nouvelles semences, à condition bien sûr de rendre illégales les semences non truquées.
Déjà en 1941, la création d'institutions pétainistes de contrôle de la semence telles le GNIS, le CTPS, le SPV, avait permis aux multinationales de l'agrochimie de prendre la France en otage, avec la complicité des administrations et de l'INRA, et de mettre en place une agriculture mortifère ne fonctionnant que grâce à des pesticides et à des fertilisants chimiques, qui ont en outre transformé notre pays en poubelle agricole cancérigène et mutagène, ceci pour le plus grand plaisir de la pharmaco-chimie.
Rappelons que Kissinger a déclaré un jour : « Contrôlez le pétrole, vous contrôlez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez le peuple ». Aussi, nos gouvernements successifs ont «laissé vendre » notre nation aux cinq compagnies de l'agriculture industrielle, toutes américaines (Cargill, Bunge, Archer Daniels, et autres) qui ont pris le contrôle du commerce mondial des céréales et des semences. Monsanto, Syngenta, Bayer, DuPont et Dow Chemicals, eux, contrôlent les graines génétiquement modifiées (OGM). Ces puissants oligopoles ont été exemptés des lois antitrust. La « Révolution Verte » fait partie du programme des Rockefeller pour détruire la diversité des semences et préconiser les intrants agricoles basés sur les produits pétroliers, dans lesquels ils ont leurs principaux intérêts.
Cette dépendance dans le contrôle alimentaire de la nation signifie que les semenciers qui sont l'un des bras séculiers du Gouvernement Mondial peuvent à tout moment nous punir pour insubordination en créant la famine, ou du moins nous obliger à nous ruiner en important notre alimentation de base pour survivre. Déjà actuellement, on sait que la France ne fournit plus que 38% de nos besoins alimentaires, ceci en raison de l'étouffement politiquement programmé de l'agriculture rurale.
Actuellement, la situation des semences ne cesse de se durcir, et seules les variétés inscrites au «catalogue officiel» ont le droit d'être semées et commercialisées. La dérive est encore plus dramatique avec les OGM et les plantes mutées. Toute semence naturelle donne lieu à des poursuites; elle ne peut être ni cultivée, ni vendue, ni échangée? ni même donnée !
Alors, allons-nous nous réveiller enfin et obliger Bruxelles et nos dirigeants complices du  régime de la carotte et du bâton, à nous rendre ce que la nature nous a toujours offert gratuitement ?

Michel Dogna

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