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Avant de donner vos organes, réfléchissez bien

Savez-vous qu'en France comme en Allemagne, et probablement d'autres pays d'Europe, il est fortement conseillé d'avoir toujours sur soi un papier interdisant le don de vos organes - si l'on ne veut pas servir de magasin de pièces détachées, suite à une mort accidentelle - car son absence serait  considérée comme une autorisation implicite de prélèvement de vos organes. Bien sûr, ceci concerne principalement un accident sur la voie publique, qui, en outre, entraîne légalement une autopsie systématique?? Or, si vous lisez bien le formulaire d'autorisation, il est marqué : j'autorise le  prélèvement de mes organes après ma mort. Et le piège se trouve là ! APRÈS MA MORT. Le docteur Paul Byrne,  spécialiste de la mort cérébrale depuis plus de 30 ans déclare : « Tout le monde (médical) sait qu'aucun organe prélevé sur un cadavre, même récent, n'est apte à la transplantation ». Le « après ma mort » est donc un mensonge et une tromperie. Afin de pouvoir tricher avec cette réalité, en 1968, la médecine a inventé le concept de «mort cérébrale» qui est devenu  la nouvelle  définition de la mort. Traditionnellement et logiquement, la mort c'est l'arrêt du c?ur et l'arrêt du souffle. Cinq minutes après, plus aucun organe n'est utilisable. Le docteur Byrne  nous dit : "J'avais confiance en mes confrères médecins, persuadé que les  transplanteurs étaient des gens honorables. Au fil des ans j'ai commencé à regarder de plus près ce qu'ils faisaient, et il est devenu clair pour moi que la raison pour laquelle on nous parlait de mort cérébrale était en vue de justifier la transplantation d'organes. On avait essayé de faire des transplantations de c?urs prélevés sur des personnes mortes, mais cela ne marchait pas. Il fallait pouvoir disposer d'un c?ur battant prélevé sur une personne vivante. Les personnes dont la vie est en danger sont celles qui ont les organes les plus sains : celles qui ont entre 16 et 30 ans. Si une telle personne est blessée à la tête, on va immédiatement chercher à garder ses organes en forme, alors que les soins devraient viser à la maintenir, elle, en bonne forme. Ce n'est plus la personne qui est soignée, mais les organes !" A la question : Les organes comme le c?ur, les poumons, le foie peuvent-ils fonctionner en l'absence de tout fonctionnement cérébral ? La réponse est OUI.  Donc, une personne dont le c?ur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd'hui être déclarée en état de « mort cérébrale ». On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l'excrétion (évacuation des déchets), et l'équilibre des fluides. Si « le mort » a des blessures, on constatera qu'il cicatrise, et si c'est un enfant, qu'il continue à grandir. Une femme enceinte en état de « mort cérébrale » peut continuer à porter son enfant. En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés, le « donneur » d'organe devient un vrai mort. Très souvent, les personnes en état de « mort cérébrale » sont sensibles aux opérations chirurgicales. C'est ce que les médecins appellent  « l'effet Lazare », du nom celui qui ressortit de son tombeau. Pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent donc pratiquer l'anesthésie, ou injecter des substances paralysantes (où la douleur subsiste ?) pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d'autres réflexes protecteurs. Ces informations sont très peu connues du grand public, et  les familles à qui l'on demande d'autoriser un prélèvement d'organe ne sont malheureusement pas informées. Je pourrais citer de nombreux exemples où les familles ont subi des pressions pour autoriser les prélèvements d'organes sur  des personnes  comateuses ou inconscientes déclarées  en état de « mort cérébrale » ou « sans espoir de guérison ». Je donnerai seulement celui d'un Américain de 21 ans, en état de « mort cérébrale », qui était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux s?urs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu'il était en effet bien mort (cérébralement). Discrètement, elles enfoncèrent une pointe sous un ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction, prouvant qu'il était conscient. Il se remit ensuite complètement et déclara plus tard qu'il avait toujours été conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu'ils allaient lui prélever ! Reste une question carton rouge d'ordre métaphysique : Tous les praticiens en réflexologie connaissent le postulat basique du vivant du «Tout est dans tout »?.. (et inversement, n'est-ce pas ?) - c'est en outre le principe holographique de la mémoire universelle (tapez holographie dans Google). Un seul exemple : tout votre patrimoine génétique depuis des générations est inscrit dans chaque ovule mesdames , dans chaque «supermatozoïde » messieurs (Waouhhh !). Personne ne conteste maintenant le fait que les milliards de cellules qui composent notre organisme sont toutes interconnectées de la tête aux orteils et que la conscience est un phénomène global du corps dont le cerveau est seulement le transcripteur. Aussi, de nombreux témoignages de transplantés relatent qu'ils ont connu des altérations de leur caractère ne pouvant s'expliquer que par l'interférence du programme psychique du donneur ? que hélas on ne connait pas? Par ailleurs, une question angoissante se pose : quand un mort a laissé une partie (holographique) vivante sur terre, donc de sa conscience, est il libéré de l'attraction terrestre ou reste t-il accroché entre deux mondes en attendant que l'emprunteur meure à son tour ??? Bon, peut-être que je réfléchis trop ! J'ai le temps, je suis en retraite??et puis les vieilles peaux comme moi, çà n'intéresse plus les transplanteurs (trop de kilométrage...). Maintenant, personne n'est obligé de se ranger à ma vision pour ses choix personnels, mais quand il s'agit d'un membre de votre famille, soyez fair play de ne pas l'embarquer à la légère dans une dramatique salade - l'affaire est loin d'être claire !

Michel Dogna

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