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Nos enfants méritent un peu plus de respect
Environ 5 % des écoliers français seraient atteints du trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Si nous ne faisons rien pour empêcher cette nouvelle épidémie, combien de milliers d’enfants seront légalement drogués par un traitement chimique dangereux ?
Les enfants qui souffrent du trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) présentent soit un déficit de l’attention, soit une hyperactivité, mais le plus souvent les deux. Le diagnostic se fait généralement à l’âge scolaire puisque la scolarisation demande à l’enfant un effort d’apprentissage en même temps qu’un respect de certaines normes sociales. Ce problème est relativement fréquent puisqu’on estime actuellement qu’il touche 3 % à 5 % de nos enfants. Le trouble déficit de l’attention / hyperactivité est défini comme un ensemble de symptômes selon trois axes.
- L’inattention
L’enfant présente de gros problèmes de concentration et se laisse distraire très facilement d’autant plus que la tâche proposée lui semble fastidieuse. On pense donc en premier lieu à toutes les obligations scolaires.
- L’hyperactivité
L’enfant présente un besoin continuel de bouger, il ne sait pas rester en place. C’est de nouveau à l’école que le problème se révèle car l’enfant est en général incapable de suivre une heure de cours en restant à sa place.
- L’impulsivité
Elle se caractérise par des gestes très brusques (attention à la casse), l’écriture est mauvaise, les travaux scolaires sont bâclés et manquent de soin. Cette impulsivité lui colle l’étiquette d’enfant « mal élevé » car il obéit très difficilement et il n’hésite pas à interrompre brusquement les conversations entre adultes.
Les critères de diagnostic
Il est extrêmement important de ne pas établir un diagnostic de TDAH à la légère. En effet, de nombreux enfants en très bonne santé sont très actifs tout en pouvant présenter une certaine forme d’inattention liée à leur jeune âge. En tout état de cause, il convient de bien observer leur comportement avant d’agir (voir tableau ci-dessous).
Une maladie psychiatrique ou environnementale ?
C’est pendant le congrès de l’Association psychiatrique américaine (APA), en 1987, que les psychiatres ont défini et entériné la réalité de cette nouvelle maladie. Et quand on parle de maladie, on parle aussi de traitements médicamenteux !
C’est ainsi que, depuis 1987, plus de 16 millions d’enfants dans le monde ont été diagnostiqués comme atteints du syndrome TDAH et on leur administre un médicament connu sous le nom de Ritaline (Rilatine en Belgique). Il s’agit d’un psychostimulant de type amphétamine dont les effets sont semblables à la cocaïne. Comme toutes les drogues, l’utilisation de la Ritaline à long terme est très dangereuse. De toute évidence, à court et à long terme, ce type de thérapie présente des effets secondaires et délétères comprenant l’inquiétude, l’irritabilité, la dépression, l’insomnie, les maux de tête, les vertiges, l’incapacité d’apprentissage, les retards de croissance, l’altération de la vision, la paranoïa, la psychose, l’anorexie, la dyspepsie, l’hépatite toxique, les arythmies cardiaques, l’infarctus du myocarde, les crises cardiaques, voire la mort. Entre 1990 et 2000, 186 enfants sont décédés suite à l’absorption de ce médicament. De plus ce chiffre ne représente que 10 à 20 % des décès réels et non divulgués. À tous les parents concernés par ce problème, je conseille vivement la lecture du livre de Pierre Vican*.
Voici quelques-unes des questions auxquelles Pierre Vican tente d’apporter une réponse dans ce livre accusateur. Nos enfants sont-ils des malades mentaux ? Pourquoi les difficultés d’apprentissage, de lecture et d’étude, qui ont toujours existé, sont-elles désormais classées dans la rubrique des maladies mentales ? A-ton le droit d’enfermer les enfants dans une camisole chimique ? Quels sont les véritables effets secondaires et pourquoi les cache-t-on aux parents ? Des comportements infantiles de plus en plus nombreux sont considérés comme relevant de troubles mentaux, et l’utilisation de psychotropes sur des enfants normaux est en augmentation régulière. Est-ce normal ?
Une cause alimentaire
Des chercheurs de l’université de Southampton ont recherché une cause à ces troubles dans l’alimentation d’un groupe de 153 enfants de 3 ans et 144 enfants de 8 et 9 ans. Dans le cadre de cette étude, les scientifiques ont administré quotidiennement un mélange de jus de fruits naturels à des enfants pendant six semaines. Certains enfants ont reçu des boissons naturelles, d’autres des boissons contenant un mélange d’additifs alimentaires que l’on trouve couramment dans les sucreries et les boissons sans alcool. Parmi ces colorants figurent le jaune orange (E110), le jaune de quinoléine (E104), la carmoisine ou azorubine (E122) et le rouge allura (E129), ainsi qu’un conservateur, le benzoate de sodium (E211). En parallèle, le comportement des enfants a été évalué par les parents et par les enseignants. Résultat : les enfants qui ont consommé la mixture de colorants alimentaires ont présenté davantage de symptômes d’hyperactivité, aussi bien chez les enfants de 3 ans que chez les plus grands de 8 et 9 ans. D’autres facteurs interviennent également comme la consommation modérée à excessive de sucres raffinés, particulièrement le sucre blanc contenu dans les produits industriels, ainsi que l’intoxication aux métaux lourds (par les vaccinations) ou encore l’exposition prolongée à la lumière blanche, froide et fluorescente de l’éclairage artificiel.
Phyto et aroma
Il est évident que les approches plus saines, non toxiques, efficaces et naturelles sont nettement préférables aux médicaments psychiatriques. Il existe un traitement entièrement naturel du TDA qui est le Phytactiv, un complexe de phyto-aromathérapie très efficace. Il se compose de : ––menthe poivrée qui est stimulante cérébrale en améliorant le flux des neurotransmetteurs au niveau des synapses. ––basilic qui agit en tant qu’inhibiteur de l’acétylcholinestérase et de la butyrylcholinestérase entraînant des concentrations supérieures d’acétylcholine dans la fente synaptique qui augmentent la mémoire, les souvenirs et la concentration. ––noix de muscade dont l’huile essentielle contient de la myristicine qui soigne les dommages occasionnés au système nerveux. On l’utilise aussi dans le traitement de l’hyperkinésie. ––jatamansi dont l’huile essentielle contient de la nardosinone, qui est neurorégénérative. La nardosinone stimule le Nerve Growth Factor, ce qui entraîne une croissance des neurites et une consolidation de la régénération en cas de dommage cérébral mineur. Phytactiv est conseillé à partir de 6 ans à raison de 2 gélules par jour (au cours du petit-déjeuner et du goûter).
●● En cas d’hyperactivité, on complétera le traitement avec Phytostress qui contient de la ballote noire dont les phénylpropanoïdes possèdent des effets sédatifs (2 gélules aux mêmes moments).
●● Enfin, parmi les compléments nutritionnels les plus efficaces pour améliorer le syndrome TDAH, on trouve les acides gras de type oméga 3. L’huile de krill (Omegakrill, 1 capsule dès 6 ans, 2 capsules à partir de 12 ans) offre une source significative et inédite de phospholipides et de deux acides gras oméga 3 polyinsaturés, EPA et DHA avec absence de métaux lourds. Les oméga 3 apportent clairement un contrôle de l’hyperactivité, une amélioration des déficits comportementaux et des facultés d’apprentissage.
Les trois types de phospholipides contenus dans le krill sont similaires à ceux permettant un bon fonctionnement du cerveau (phosphatidylcholine, phosphatidylinositol et phosphatodyléthanolamine). Les phospholipides sont fondamentaux pour maintenir une fonction cérébrale correcte et représentent un support aux performances intellectuelles soutenues.
Ces conseils ne vous dispensent pas de consulter en premier lieu un médecin pour établir un diagnostic. Vous pouvez également vous faire accompagner par un thérapeute en médecine complémentaire. Pour en trouver un près de chez vous, rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com